« Mes songes ôtent un peu leurs mains de mes yeux.
Au fond de moi il n'y a qu'un vide, un désert, une mer nocturne.
Et dès que je sens qu'il y a une mer nocturne au fond de moi,
S'élève de ses lointains, naît de son silence,
Encore une fois, encore une fois, le vaste cri très ancien. »
(Fernando Pessoa-Ode maritime)
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